S24/11 20h30 : Bloodlust Metal - [Fermé]

(j'ai fait ça sans mes notes et donc il manque la dates et les noms. C'est un premier jet non finalisé).

Jour X Mois Y

Nous sommes enfin dans la plantation et les choses auraient pu vraiment mal finir. Après avoir frôlé la tempête d’épice nous nous sommes retrouvés dans le désert sans rien et surtout différent. Alexeï a gagné en carrure, Macodou semble distant et Kalimsha … elle se comporte comme une Thunk au milieu d’un désert. Pour ma part, j’ai un 6 ème doigt à chaque main et mes cheveux dégagent un doux parfum qui m’apaise. Nous nous sommes dirigés vers la plantation, avec le peu d’affaire que nous avions encore sur nous. Sur le chemin, un étrange bâton de bois planté dans la dune attire mon attention. En creusant nous déterrons mon cheval qui s’est transformé en bois durant la tempête, ce qui nous a permis de récupérer mes affaires et l’argent que nous avions. Nous avons pu par la suite retrouver la monture de Kalimsha changé en statue de sel. Quelques heures été passé, la plantation reprenait vie et ses occupants nous remarquèrent enfin alors que approchions. Le petit groupe de jardinier armé d’outil nous interdit d’approcher de la plantation. Nous avons dû user de charme et de diplomatie, faute d’être en état pour réellement nous imposer après cette épreuve difficile. Nous étions là pour comprendre et découvrir la vérité, pas pour tirer les armes. Finalement, ils sont partis chercher le chef, un colosse massif caché sous un long manteau à capuche : Oxymar. Une fois les raisons de notre présence connue, il accepta de nous recevoir. Nous avons pu profiter d’une journée de repos au frais, avec eau et nourriture pour nous sustenter. Ce n’est qu’a la tombé de la nuit qu’Oxymar vient nous voir pour discuter de ce que nous savions. Nous avons appris, qu’il est tombé malade il y a longtemps et qu’un homme qu’il appelé le Médecin lui à fournit un une arm-dieu, elle-même infectée, et un moyen de survivre : Le sarment d’oubli. Depuis, il gère la plantation pour cette homme en fournissant l’épices à plusieurs clients. Tout porte à croire qu’il a été manipulé par cet homme et qu’il en est devenu l’esclave. Il accepte donc de prendre le risque de nous aider pour se libérer. Nous avons trois nom, un membre du conseil des épiciers proche, une femme à Malhin et enfin une personne dans la capitale Vorozhion. Nous décidons d’aller au plus court.

Jour X+1

Notre guide nous a rattrapés sur le chemin avec la monture d’Alexeï en main.
C’est une riche plantation s’étendant sur des kilomètres qui nous accueille avec ses milices montés et ses plans de Muffin à perte de vu. Les gardes nous escortent jusqu’à un palais opulent débordant d’argent, d’or, de marbre, de soieries, de dentelles, de sculptures, de prouesse architecturale dont la beauté individuelle n’a égale que de mauvais goût avec lequel ils ont été aménagé. Au milieu d’un gigantesque tas de coussin, un homme énorme perdu dans les fumées d’épices et murmurant des propos incohérent nous fait face. A son doigt une bague d’émeraude. C’est par l’intermédiaire de son arme-dieu que nous réussissons à communiquer. Elle aussi est infecté et s’est en recevant ce cadeau empoisonné que le marchand a été atteint. Depuis il a sombré dans l’épice et obéit au demande qu’il reçoit occasionnellement contre le sarment d’oubli qui lui permet de vivre. A nouveau nous n’avons pas plus d’information mais nous obtenons un soutien financier et des montures.

Jour X+4

Nous avons pu utiliser l’épice avec Damar, pour retrouver notre souvenir de Razif. Etant la seule à avoir remarqué la bague, c’est moi qui ai dû boire l’étrange mixture bouillante. Nous avons pu identifier la bague et un peu plus tard son propriétaire grâce à notre zélé fonctionnaire. Il ne s’agit de rien de moins que le chef du conseil des épiciers. Celui-ci vit dans un bastion au nord.
Dernière piste, QuickSilver et son porteur qui sont en ville. Il a fallu que Kamisha et Vestrivan menace un des gardes à l’entrée pour qu’il accepte de nous voir. Nous suivons le serviteur dans une demeure sobre et élégante, alors qu’à l’étage un bel homme, les traits fins, une barbichette bien taillée, une rapière au côté nous apostrophe. La discussion est tendue, l’homme est menaçant, sûr de lui. Il ne reconnait qu’à demi-mot la vérité, refuse de nos écouter et nous accuse de mentir sur son ami. En effet celui-ci est au courant que son ami est aussi atteint, car il était présent durant une soirée ou leur convive ont trouvé la mort et eux l’empoisonnement de leurs armes. Effectivement, l’homme en question est un porteur mais l’arme ne correspond absolument pas à celle que nous avons vue lors de notre rencontre. Encore une énigme …
Il ne nous reste plus qu’une seule piste, le dernier porteur du conseil des épiciers qui est aussi le chef de l’armée. En espérant qu’il soit plus coopératif.
Les indices s’accumulent mais au lieu de clarifier la situation, celle-ci nous semble de plus en plus complexe.

Je commence à m’habituer à mes doigts supplémentaires, c’est toujours une sensation étrange et j’ai encore du mal à écrire avec. Je me rends compte que j’ai l’air de moins en moins humaine. Je me suis toujours senti différente mais le regard des autres est encore pire lorsqu’ils se rendent compte de ma différence : Celui-ci oscille entre mépris et dégout. Heureusement, ce n’est pas le cas de tous, mais j’ai hâte de quitter le désert batranoban. Je me demande ce que Macodou pense de ces changements, il n’aime peut-être pas, je le trouve si distant dernièrement … Autre effet de la tempête, Kalimsha a perdu le goût et l’odorat ce qui la perturbe. Finalement, je préfère encore ce qui m’arrive que de ne plus pouvoir profiter des plaisirs simple comme sentir le parfum d’une fleur ou gouter un fruit juteux. Non, sheraza, ce n’est pas à ça que je pensais, à ça non plus. On peut pas être sérieux avec toi, il faut toujours que ... oui, moi aussi j’aime bien …


Valandre, perdue dans ses pensées

sheraza : oh tu sais il n'y a pas de mal à savoir apprécier les choses simples... regarde les batranobans à force d'abuser des bonnes choses, ils en perdent tout gout. C'est comme le bain après la traversé du désert, il sera mille fois meilleur que les milles bains que tu prenait sans savoir qu'un jour tu en serais privé.

alexei : je méprise les dérigions, alors cela ne peut pas être pire... (bizarre ne serait ce pas de l'ironie dans les paroles ?) et je me moque de ce qu'ils pensent, l'important est ce que l'on est, ce que l'on fait et ce que pense les autres n'a que peut d'importance (en tout les cas ce que pense un batranoban, si on considére qu'un batranoban soit doué de raison...)

Grâce à vos talents de diplomates vous avez pu convaincre Oxymar de vous donner du temps (... enfin surtout des sarments)

L'homme porteur du sabre noir serait, si Valandre ne se trompe pas, Corman Zimra, le chef suprême du Conseil des Epiciers, la plus haute instance en territoire batranoban.

Un homme dont Stol Nern, conseiller, garantit la probité,
Un homme qui serait également empoisonné,
Un homme qui, s'il n'est pas au conseil, se renferme dans une forteresse,
Un homme qui est porteur, mais pas d'un cimeterre noir muni de pseudopodes.

Il y a également ce fameux docteur qui aurait "sauvé" Oxymar de son mal insoignable,
Qui lui a fourni une arme, empoisonnée,
Qui est propriétaire de l'unique plantation de Sarment d'Oubli
et dont toute mention dans les textes officiels est soigneusement dissimulée
et dont la marque est tout à fait spéciale aux yeux de nos Porteurs.

Presque tout prendrait son sens si.....

La suite samedi?

Présente pour la suite :)

Présent !!

Je ne pense pas que j'aurais le temps de reprendre mon texte

présent

J'ai édité le sujet pour le rendre conforme à la nouvelle nomenclature du calendrier :)

présent (mais dans les vapes !). Va falloir bien m'expliquer, je crois que j'ai eu un moment d’absence.

on mange ?

Ok pour moi... Même lieu même Heure?

Jun écrit: Ok pour moi... Même lieu même Heure?

euh.... quelle heure ?

Ok pour moi... Même lieu même Heure?

La place des grands hommes ?

à partir de 19h30?

ok

Petit résume de fin de partie....
Nosu en sommes arrivés à la conclusion que :

Bon, et aussi que la Marchande des Roues est une espionne. xD

Quand le soleil vient sur l’étendue immaculée,
Je courre dans la lumière blanche de la neige
Le blizzard fouette ma fourrure,
Le gel déchire mon museau.
Je sens la meute autour de moi
Et je t’appelle, toi, qui nous ressemble,
Kalinsha la sauvage,
Ta place est au milieu de nous
Kalinsha la courageuse,
Dont le corps porte la marque de tes exploits
Kalinsha la guerrière,
Dont la lame connait le sang
Où que tu sois, où que tu ailles
Tu seras toujours dans nos cœurs

Macodou le poète

Un bien beau poème, merci ! Que me vaut vette faveur ?

En tous cas, tu pourras le réciter en ma mémoire si Vestrivan perd contre Quicksilver. ^^

C'était pour remonter le moral de Kalinsha !

mais je n'ai jamais le temps de le faire en aparté (ça fait quand même 2 séances que je traîne le poème ).Je le mets donc sur le forum !

Macodou choisit le moment propice et tranquille pour le réciter à Kalinsha ( Moment difficile à trouver actuellement car elle a l'air très occupée actuellement).

Très jolie poème :)

Elyandel écrit: Très jolie poème :)

pour une fois que je ne pompe pas