Crystal : Journal de Campagne

13 Oct 2015 07:10 #49284

Moi, Guillaume de Nogaret, inaugure ce journal de campagne, afin que moi même et mes compagnons, puissions relater les aventures exceptionnelles que nous allons vivre.

Nous sommes tous originaire de Carcassonne l'ardente, si j'omets bien sûr notre "compagnon" qui vient de Bordeaux "jemelapèteavecmoncinémaettouteseschosesquevousnaurezjamais".

J'ai 28 ans, et suis un des conseillers de Sandrine, notre vénérée leader. Mon père, déjà avant moi conseillait Evan, le prédécesseur de Sandrine, c'est dire si dans ma famille on est de bon conseil.
Je connais bien la plupart des autres hérauts. Il faut dire qu'avec 1128 habitants, nous formons une petite communauté soudée contre l'adversité.
Bien sûr, je connais plus particulièrement une certaine partie de cette population, plutôt jeune et féminine. Il faut bien repeupler cette terre, alors autant que ce soit avec du sang bleu.

Il y a quelques semaines, suite à un étrange rêve, je me suis réveillé avec une marque verte en forme de feuille sous le pectoral gauche.
Le révèrent Vincent Thomas, qui dirige notre congrégation m'a dit que cela faisait de moi un individu avec de grand pouvoir et que j'héritais donc de grandes responsabilités.

Heureusement, nous étions 4 à avoir une telle marque dans la nuit. Ce qui apparu comme un miracle jamais survenu aux yeux du révèrent.
J'ai bien trouvé les grands pouvoirs, surtout le pouvoir d'attraction de la marque envers la gente féminine. Quant aux responsabilité, les autres seront bien assez nombreux pour les porter.

Cependant, on nous a vite fait comprendre que se la péter avec notre marque, c'était une chose, mais que ceci soit utile à tous en était une autre.
Nous avons donc été poussé hors des murs accueillants de notre cité pour arpenter le monde dévasté.
Notre mission, que je n'ai pas vraiment accepté, mais je n'ai pas le choix, est de trouver et régénérer les failles afin de développer des havres, aider les communautés des enclaves et respecter la nature et la congrégation.

Après quelques escapades hors les murs, j'ai commencé à prendre plaisir à aller vers les autres en dehors de mon intérêt personnel et à les aider. C'est dur et j'ai failli passer l'arme à gauche plusieurs fois, mais mon courage, ma bravoure et quelquefois mes compagnons, je dois l'avouer, nous ont permis de surmonter les difficultés.


J'espère que ce journal, dénué d'apparat, nous permettra de souder notre groupe et de garder la mémoire des aventures de notre groupe.


On doit tous mourir un jour
Mais pas tous les jours
Et pas aujourd'hui !

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