Le 14 juillet 2016 devait être un jour de fête à Nice, mais restera pour tous une tragédie sans nom. 84 morts, plus de blessés encore par la faute de la violence aveugle d’une personne.
Alors, à toutes les victimes qui vivent encore, je souhaite de tout mon cœur beaucoup de courage et d’affection. Je leur souhaite de tout mon cœur de parvenir à se relever au plus tôt, et de pouvoir recommencer à vivre sans être hanté à chaque instant par le drame.
A tous les parents et amis des victimes n’ayant pas survécu à ce massacre, je présente mes condoléances et leur envoie toutes mes pensées.
Et surtout, je pense à toutes mes connaissances niçoises : des amis qui parfois s’y rendent pour le plaisir ou des personnes que je croise régulièrement et avec qui j’ai sympathisé sur des conventions habitant non loin (je pense à ceux de GRAAL, à Spiel (A vous de jouer), à l’association C’est Pas D’Rôle…). Et j’espère qu’aucun d’eux n’est touché par cette tragédie.
Puis, une fois avoir fait le tour de tous mes amis et des victimes, je songe à l’avenir. Que doit-on faire ? Voici la réponse que j’ai trouvé : nous devons vivre. Parce que ceux qui tentent de nous faire plier veulent nous maintenir dans la peur pour attirer notre attention, parce que leur but est de nous enlever le simple plaisir d’être encore là, je continuerai de sortir. Demain, j’irai jouer, j’irai rire et m’amuser. Parce que face à la violence et la haine, j’ai choisi d’opposer les sourires et tout simplement, la joie de vivre.